Ma première lecture d'un roman en auto-édition...
Bonjour les fidèles curieux de MMEB! Amoureux de la littérature, vous êtes gâtés pour l'instant, je vais encore vous présenter un livre aujourd'hui.
Il est de ces rencontres dues au net qui sont de vrais plaisirs. Ma rencontre virtuelle avec l'écrivain Johnny Karlitch en est une. Je ne suis pas tombée sur son livre par hasard, je préfère être transparente, il m'a contactée pour me demander de lire un de ses ouvrages. Et j'ai accepté, c'est aussi simple que ça. Je tiens encore une fois, même si je l'ai déjà fait en privé, à m'excuser auprès de Johnny Karlitch pour le délai d'attente (lecture, rédaction de l'article, tout a traîné).
Nous avons eu quelques échanges depuis et je dois dire qu'ils sont à chaque fois très agréables, avec un côté que d'aucun trouverait un brin surranné et qui moi me convient à merveille. Nous sommes loin du langage sms et des verbes plats.
Séduite par ses mails, est-ce que j'allais l'être tout autant par son roman? Allais-je devoir passer par ce moment délicat où je dois annoncer que je n'ai pas accroché?
Mais qui est ce Johnny Karlitch d'abord?
Il a une sacrée carrière à son actif. Né en 1958 au Liban (où il vit toujours d'ailleurs), Johnny Karlitch a été enseignant avant de rejoindre une petite chaîne de télévision thématique à destination des plus jeunes. Il y a réalisé et produit plusieurs programmes. En 1992, il passe à la conception et à la réalisation sur une autre chaîne, NewTV, toujours dans son pays. Par la suite, il a réalisé des documentaires et des courts-métrages tout en pratiquant le journalisme, sans oublier la présentation d'un spectacle de lecture et une expo photo.
C'est en 2010 qu'il décide de passer au journalisme indépendant afin de pouvoir consacrer du temps à la rédaction de son premier roman, notamment - car il semble qu'il ne puisse pas se contenter d'une seule activité (et comme je le comprends).
Son premier roman, 01.01.2013 a été autopublié en juillet 2012. Et Tremblements dont je vais vous parler aujourd'hui a suivi le même chemin en 2013.
Je m'égare... tout ça pour dire qu'il n'y a pas de quatrième de couverture. Je vais donc vous résumer l'histoire. Le Liban est secoué par un terrible tremblement de terre, le big one. Dans la ville de Jounieh, à vingt kilomètres de Beyrouth, Aya et Farid se retrouvent ensevelis non loin l'un de l'autre, sous les décombres du même immeuble. Ils ne peuvent ni se voir ni se toucher, seulement se parler et espérer, ensemble.
Il est de ces rencontres dues au net qui sont de vrais plaisirs. Ma rencontre virtuelle avec l'écrivain Johnny Karlitch en est une. Je ne suis pas tombée sur son livre par hasard, je préfère être transparente, il m'a contactée pour me demander de lire un de ses ouvrages. Et j'ai accepté, c'est aussi simple que ça. Je tiens encore une fois, même si je l'ai déjà fait en privé, à m'excuser auprès de Johnny Karlitch pour le délai d'attente (lecture, rédaction de l'article, tout a traîné).
Nous avons eu quelques échanges depuis et je dois dire qu'ils sont à chaque fois très agréables, avec un côté que d'aucun trouverait un brin surranné et qui moi me convient à merveille. Nous sommes loin du langage sms et des verbes plats.
Séduite par ses mails, est-ce que j'allais l'être tout autant par son roman? Allais-je devoir passer par ce moment délicat où je dois annoncer que je n'ai pas accroché?
Mais qui est ce Johnny Karlitch d'abord?
L'auteur
C'est en 2010 qu'il décide de passer au journalisme indépendant afin de pouvoir consacrer du temps à la rédaction de son premier roman, notamment - car il semble qu'il ne puisse pas se contenter d'une seule activité (et comme je le comprends).
Son premier roman, 01.01.2013 a été autopublié en juillet 2012. Et Tremblements dont je vais vous parler aujourd'hui a suivi le même chemin en 2013.
La couverture
C'est donc celle que vous avez vu en tout début d'article. L'auteur l'a réalisée lui-même, je pense - il me corrigera si je dis une bêtise. Et j'espère qu'il m'excusera parce que je n'ai rien de particulier à en dire... Bon, si, j'aime bien l'effet sur le titre avec les dernières lettres qui penchent dangereusement vers les fameuses entrailles de la terre.
Le quatrième de couverture
J'ai reçu le livre par mail et je l'ai imprimé (impossible pour moi de lire un roman sur un écran, non merci, ça me rend dingue). Pour l'anecdote, je n'ai pas manqué de galérer avec mes deux cent pages A4 non reliées, elles sont d'ailleurs dans un état épouvantable à force d'avoir été trimballées entre trains et métros., mais c'était en même temps une expérience amusante. Je n'ai pas manqué de recevoir quelques coups d'oeil curieux d'ailleurs.
Je m'égare... tout ça pour dire qu'il n'y a pas de quatrième de couverture. Je vais donc vous résumer l'histoire. Le Liban est secoué par un terrible tremblement de terre, le big one. Dans la ville de Jounieh, à vingt kilomètres de Beyrouth, Aya et Farid se retrouvent ensevelis non loin l'un de l'autre, sous les décombres du même immeuble. Ils ne peuvent ni se voir ni se toucher, seulement se parler et espérer, ensemble.
Voilà bien un 4e de couverture attrayant! (ok, ok, tu n'en avais pas, mais on se comprend)
RépondreSupprimerPeut-être celui qui m'attire le plus depuis le début de tes chroniques.
Vi
Aaaah tu sous-entends que je suis douée pour écrire les quatrièmes de couverture!!! ;)
SupprimerHihi! A bon entendeur.... :p